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Des réponses à vos interrogations.
Mon activité de sophrologue s’inscrit dans une démarche de mieux-être ou de bien-être.
Elle peut intervenir en complément d’un traitement médical.
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Votre amie n’est pas allée chez un sophrologue !
Aucune manipulation, ni physique, ni mentale, n’existe dans la sophrologie.
Personnellement, je m’engage à exercer la sophrologie dans le respect total de l’intégrité physique et morale de la personne traitée.
Il n’y a aucun toucher du patient en sophrologie.
Peut-être que votre amie est allée chez un praticien de plusieurs disciplines : les massages n’étaient en aucun cas de la sophrologie.
Vous deviez probablement avoir une induction, première partie du déroulement de la visualisation.
Vous utilisez des outils de sophrologie, en complément du yoga, sans que cela ne soit de la sophrologie.
L’induction amène vers l’état sophroliminal, proche du sommeil mais vous êtes encore conscient. C’est dans cet état de cerveau reposé, en ondes alpha, que vous pouvez à la fois vous relaxer et intégrer les sensations et autres outils propres à la sophrologie.
Si vous vous endormez vous êtes inconscient, et si cela montre que vous êtes reposé - ce que cherchait probablement votre professeur de yoga - cela n’est d’aucune utilité en sophrologie car, puisque vous êtes inconscient, vous ne pouvez pas intégrer les sensations positives, l’un des buts de la séance de sophrologie.
Votre amie est allée chez une personne qui pratique peut-être la sophrologie et probablement d’autres méthodes.
Peut être cette personne était-elle naturopathe par exemple ? Ce qu’elle a eu ne relève en aucun cas de la sophrologie, qui ne comporte strictement aucun conseil.
Tout d’abord le-a sophrologue ne peut rien prescrire, il n’en a pas les compétences, ni le droit d’ailleurs.
Ensuite, le-a sophrologue ne travaille pas avec les huiles essentielles, ni aucun autre objet.
Je ne suis ni pour ni contre, chacun fait ses choix en fonction de lui-même.
En ce qui me concerne, pour l’instant, je pense que la sophrologie est un métier à part entière.
Que ses outils et sa puissance me suffisent pour me permettre de les aider à devenir autonomes, concernant le problème pour lequel elles viennent me consulter.
L’important est qu’une personne qui a besoin d’aide puisse trouver la bonne personne à qui la demander.
Le terme "sophrologie caycédienne"®est une marque déposée.
Si l’on exerce la sophrologie telle que l’a codifiée Alfonso Caycedo, c’est de la sophrologie.
Les personnes qui se regroupent sous le nom de marque "sophrologie caycédienne"® vous expliqueront la différence qu’ils y voient.
Ce n’est ni de la gymnastique, ni du yoga, même si certains exercices s’en inspirent. Nous appelons ces exercices "dynamiques" parce le corps n’est pas totalement au repos, comme lors de la sophronisation.
Les exercices sont légers, jamais il ne faut forcer, si la personne ne peut ou ne veut pas faire l’exercice dans sa codification, on trouve toujours une manière qui lui convient : toujours positive, car le-a patient-e doit toujours se sentir bien.
Non, pas du tout.
Le but est d’utiliser la sophrologie au quotidien. Tout ce qui se rapproche de la situation quotidienne permet d’aider à la pratique quotidienne.
En revanche, quand on n’a pas l’habitude, souvent, il est plus facile d’atteindre une relaxation dans la position allongée.
C’est à vous de voir ce qui vous convient le mieux, allongé-e ou assis-e (ou même debout) à un moment donné, pour profiter au mieux de la séance de sophrologie, individuelle ou collective.
La musique peut distraire et interférer avec la voix de la sophrologue. Il n’y a donc jamais de musique dans mes séances.
Pendant la séance, vous vous détendez physiquement et mentalement.
Vous en profitez pour vous ressourcer, vous déstresser.
Ainsi, lorsque vous reprenez votre vie normale après la séance, vous avez récupéré de l’énergie et de la ressource, vous avez éliminé des tensions, ce qui vous permet de repartir d’un meilleur pied.
Ces trois fois correspondent aux trois étapes de la libération de la conscience telles que définies par l’auteur de la sophrologie, Alfonso Caycedo : découverte, conquête, transformation.
Il n’y a strictement aucun risque à pratiquer la sophrologie. Chacun-e doit refaire les exercices chez soi, afin que chacun-e gagne en autonomie, et cela ne serait pas possible s’il y avait un quelconque risque.
Avant toute séance, et plus longuement lors de la première, nous échangeons sur divers points concernant votre situation, en lien avec votre demande.
C’est à cette occasion que vous m’indiquez si certaines choses ou situations vous mettent mal à l’aise, l’eau, l’air, le feu, la nature, les fleurs, des animaux, etc. Tout ce qui pourrait faire partie du voyage imaginaire que vous pourrez faire lors de séances.
Vous m’indiquerez aussi ce qui vous fait plaisir, vous détend. Des situations, des lieux, des morceaux de votre histoire qui sont ou ont été particulièrement agréables pour vous.
Dans la perspective d’éviter à tout prix ce qui vous met mal à l’aise ou vous stresse et d’utiliser ce qui vous rend détendu-e et vous calme au cours de ces voyages imaginaires.
Une grande différence entre la sophrologie et l’hypnose est que dans cette dernière c’est l’hypnotiseur qui parle pour le patient, alors que le sophrologue guide le sophronisé, et celui-ci travaille avec ses propres ressources. Il poursuit son travail individuel de manière à devenir totalement autonome.
La sophrologie travaille sur la conscience de son corps.
La relaxation dynamique, caractéristique de la sophrologie, et visant à travailler sur la conscience de son corps et n’existant dans aucune autre pratique, est primordiale en sophrologie. L’hypnose ne travaille que sur le mental.
L’hypnose travaille sur l’inconscient, alors que la sophrologie doit absolument laisser le patient totalement conscient.
Cela permet au patient de devenir totalement autonome, et c’est donc un pas vers un ouverture de la conscience, une amélioration de soi, donc de son entourage, et de l’ensemble de l’Humanité.
Non !
Vous restez, à tout moment, toujours maître de vous, de vos gestes, de vos décisions.
Si vous décidez de bouger, d’arrêter, à n’importe quel moment vous le pouvez, de vous-mêmes.
Oui.
La schizophrénie et autres pathologies similaires.
En effet, on sollicite l’esprit, la pensée, l’imagination et le souvenir.
Il faut donc pouvoir faire cela sainement.
La surdité pour la partie visualisation car c’est par la voix de la sophrologue que le-la patient-e est guidé-e.
Mais les exercices de relaxation dynamiques ne posent aucun problème, ils sont, de toutes façons expliqués par gestes avant l’exercice, et cela pour tou-tes, dans ce cas, il doivent être également expliqués en langue des signes.
En aucun cas.
Mon activité exclut absolument toute forme de prosélytisme religieux, politique ou sectaire.
Je respecte une stricte confidentialité de tout ce qui se passe durant les séances.
Oui, bien sûr, on ne peut pas être sophrologue si on n’a pas été sujet de sophrologie.
Tous les jours, si je peux, je pratique la sophrologie pour moi.
Mon souci est de toujours vous garantir une prestation optimale, notamment en maintenant mes compétences au plus haut niveau à l’aide de cours, de stages, de participation à des colloques, de formations complémentaires, de lectures professionnelles, etc.
Jamais un sophrologue ne pose de diagnostic, ni médical, ni autre.
Non.
La sophrologie ne guérit pas les pathologies.
Surtout pas.
N’arrêtez pas, ne diminuez pas, ne changez pas vos traitements médicaux par vous-même.
Que ce soit les accompagnements médicamenteux ou les aides psychologiques par exemple, aucun traitement en cours ne peut être arrêté ou modifié sans l’accord du professionnel qui vous l’a prescrit.
La sophrologie vous accompagne dans ces traitements, vous aide, et si votre prescripteur estime qu’il peut diminuer ou arrêter le traitement dont il est l’auteur, alors il le fera.
En aucun cas je ne peux prescrire ou conseiller de médicaments.
Je vous conseille de consulter votre médecin traitant, ou tout autre médecin, pour avoir un diagnostic ou un traitement concernant ce dont vous vous plaignez ou ces symptômes anormaux.
Rien de spécifique. Nous travaillons régulièrement en collaboration avec eux.
Certains nous recommandent des patients. De nôtre côté, nous pouvons recommander à nos clients de consulter un médecin ou un professionnel d’une profession paramédicale.
Absolument. Quel que soit l’état physique, les séances de sophrologie peuvent améliorer l’état général.
En sophrologie je travaille sur l’influence de l’esprit sur le corps, il n’y a donc pas besoin d’une quelconque forme physique pour profiter des bienfaits de la sophrologie.
Est-ce vraiment "si cher" ?
De mon point de vue
Une séance dure une heure.
Le premier rendez-vous est souvent plus long, pour permettre un échange approfondi.
Le sophrologue fait, à partir de cet échange, un protocole de l’ensemble des séances. Cela prend plusieurs heures.
Après chaque séance, le sophrologue prend du temps pour des notes, afin d’adapter au mieux les séances suivantes, selon vos ressentis exprimés.
Il n’est pas possible, ni souhaitable, que le sophrologue voie 8 ou 10 patients dans la journée.
Même si je fais ce métier pour aider les patients, je ne le fais pas, dans le cadre de l’exercice de ma profession, que par philanthropie.
Il faut que je gagne ma vie.
De votre point de vue :
Un protocole, pour une demande donnée, dure une dizaine de séances seulement, parfois moins. Ce n’est pas un engagement à très long terme, ni en temps, ni en argent.
C’est un investissement à long terme pour la santé.
C’est, in fine, au patient de faire ses choix de vie et d’investissement.
Certaines mutuelles, de plus en plus nombreuses, remboursent des séances de sophrologie.
Renseignez-vous auprès de la vôtre... et des autres..